CATALOGUE DE CONCERTS "CLÉ EN MAIN"
L’ÉPOPÉE DOGORIENNE d’Étienne PERRUCHON
Vous êtes enseignants en écoles primaires, professeurs de musique en collèges ou écoles de musique, chefs de chœurs enfants ou adultes, délégués à la culture dans une Mairie... Vous avez envie de monter un projet musical avec un orchestre symphonique... Les œuvres dogoriennes sont d'excellents supports pour cette ambition pédagogique: elles concilient qualité musicale et aventure humaine. TCHIKIDAN : suite dogorienne pour chœur d'enfants et orchestre symphonique durée 50'
DOGORA : suite populaire de Proszeshnie orientale pour chœur mixte adultes, chœur d'enfants, solistes et orchestre symphonique durée 70'
SKAANZA : chants de foule traditionnels des nomades dogoriens pour chœur mixte adultes, chœur d'enfants, orchestre symphonique et participation du public durée 50'
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Nos programmes disponibles à la vente.
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TÉMOIGNAGES D'ENFANTS DOGORIENS
Quand nous sommes entrés sur scène, j’ai été impressionné par le monde. Après le premier chant, je me suis dit que Dogora ça ne serait pas
«Chanter en étant tout mou ». C’était mettre de l’ambiance dans tous les chants ! La Vidjamé a eu beaucoup de succès.
Elle a reçu le plus d’applaudissements. Étienne Perruchon pleurait de joie.J’ai adoré le concert Dogora! Grégoire
Nous marchâmes jusqu’à l’entrée de la scène. Pas à pas, le stress montait, montait…
Une fois le concert terminé, dans les coulisses, je bus beaucoup. Enfin, mon père arriva. Je me jetai dans ses bras en éclatant en sanglots.
Je me rendis compte que c’était fini et que j’avais tout donné. Je me rendis aussi compte que j’avais chanté ma dernière gloire
avec l’école du Biot. Audrey
«Chanter en étant tout mou ». C’était mettre de l’ambiance dans tous les chants ! La Vidjamé a eu beaucoup de succès.
Elle a reçu le plus d’applaudissements. Étienne Perruchon pleurait de joie.J’ai adoré le concert Dogora! Grégoire
Nous marchâmes jusqu’à l’entrée de la scène. Pas à pas, le stress montait, montait…
Une fois le concert terminé, dans les coulisses, je bus beaucoup. Enfin, mon père arriva. Je me jetai dans ses bras en éclatant en sanglots.
Je me rendis compte que c’était fini et que j’avais tout donné. Je me rendis aussi compte que j’avais chanté ma dernière gloire
avec l’école du Biot. Audrey
